« Quand je suis entré chez les jésuites en 1963, le Québec était au coeur de sa révolution tranquille...
...ces années étaient remplies d'espoir. Au désir de réforme de l'Église, nous joignions celui de réformer toute la société...
À la longue cependant, le dynamisme même de ces engagements poussera à une critique radicale de l'Église, tant dans son mode de
fonctionnement que dans ses positions sociales. Désépérés de la lenteur des changements et de l'opposition qu'ils suscitaient, ou
bien simplement désireux de vivre une vie plus épanouissante, les plus engagés partiront les premiers... »